Des restrictions de circulation ont été introduites dans l’un des principaux points d’accès aux montagnes des Dolomites, en Italie, dans le but de lutter contre la surpopulation pendant la saison touristique estivale.
L'objectif du projet est de réduire d'environ 20% l'accès à la montagne, site classé au patrimoine mondial de l'Unesco, afin de réduire la pollution et de protéger la zone naturelle.
L’objectif du projet est de réduire d’environ 20% l’accès à la montagne, site classé au patrimoine mondial de l’Unesco, afin de réduire la pollution et de protéger la zone naturelle.
La zone au-delà du col de Sella a été désignée zone de trafic limité (ZTL), ce qui signifie que les véhicules ne peuvent entrer qu’avec un laissez-passer valable une heure, qui peut être collecté gratuitement aux points d’information le long de la route OpenMove.

Les restrictions seront en vigueur du lundi au vendredi de 9h à 16h jusqu’au 31 août et s’appliqueront aux motos et aux voitures à quelques exceptions près: véhicules électriques, transports en commun et véhicules de personnes travaillant ou séjournant dans la zone.

L’objectif du projet est de réduire d’environ 20% l’accès à la montagne, site classé au patrimoine mondial de l’Unesco, afin de réduire la pollution et de protéger la zone naturelle.

Selon les autorités locales, seuls 200 véhicules seront autorisés chaque matin et entre 100 et 150 après-midi.

Un programme similaire a été testé en 2017 avec un arrêt total du trafic passant par le col de Sella le mercredi pendant l’été, mais c’est la première fois qu’une restriction de circulation est appliquée pour toute la saison.

L’Italie a eu du mal ces dernières années à gérer un tourisme excessif, la situation étant particulièrement tendue à Venise, au sud des Dolomites.

Les Vénitiens ont organisé de nombreuses manifestations contre le tourisme de masse qui a augmenté les loyers et contraint de nombreuses familles à quitter leur ville natale.

La ville a réagi par une série de mesures, y compris l’installation de comptoirs sur les sites les plus populaires, des politiques «locales d’abord» sur les bus et des interdictions de nouveaux logements touristiques dans le centre historique.