L’administration financière a mené une large opération sur le jeu illégal en Slovaquie.

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75 machines ont été saisie par l’administration financière, en juin, concernant le jeu illégal. Les officiers des taxes ont confisqué des documents concernant 14 compagnies.

180 contrôleurs ont sillonnés la Slovaquie pour vérifier les installations de 100 sociétés de jeux, soit le plus grande action jamais faite en Slovaquie.

Ľudovít Makó,, chef administratif financier, indique que cette opération a été compliqué à mener, les contrôleurs devaient tester les machines pour considérer si cela concerner le jeu d’argent. Durant les opérations, certains machines à sous étaient mise hors tension, ou bien d’autres n’avaient plus de connection internet, pour truquer le contrôle.

Les officiers ont finalement mis sous sellette une dizaine de structures, pour des analyses supplémentaires.

 

Les machines à quiz seront vérifiées

Les machines à quiz sont elles aussi considérées par des machines à jeux. Cependant, pour le prouver aux yeux de la loi, les machines doit être envoyé au service technique de l’administration financière pour officialisé si ce sont des machines à jeux ou non.

 

Si tel était le cas, les lieux de jeux présentant des machines à quiz sans déclaration pourraient subir des pénalités financières importantes.

Il y a aussi un soupçon sur le contrôle de l’âge légal, de 18 ans, dans ces lieux de jeux.

Aussi, les machines à Quiz ont des serveurs basés à l’étranger. Il s’avère que la loi slovaque oblige les serveurs des machines à quiz à être basés en Slovaquie. Le marché est important en Slovaquie, avec 800 machines à quiz en Slovaquie enregistrées, à Bratislava, Trnava et Žilina Régions.

 

Saisie des données comptables

L’administration financière a confisqué les livres comptables sur la période 2017 et 2018 de 4 compagnies, opérant avec les machines à quiz.

Les officiers des taxes vont alors échanger les données entre les livres et les serveurs des machines à quiz, pour vérifier s’il y a eut une évasion concernant la déclaration de TVA. En cas de triche, il s’avère du droit pénal, avec des pénalités en conséquence à la gravité de l’opération.